Projet réalisé pour la start-up Basecamp Vascular pour décrire une technologie de rupture dans le domaine de la navigation endo-vasculaire visant l’indication AVC.
Infographie réalisée pour Meditor afin d’expliquer comment fonctionne une membrane d’hémodialyse dans le processus d’épuration du sang d’un patient insuffisant rénal.
Projet réalisé pour Uriage en collaboration avec Vanessa Bellil sur le complexe poly-2P qui isole la peau des agressions extérieures et répare le ciment lipidique en profondeur.
Projet réalisé pour le généraliste en collaboration avec le Dr Sylvie Le Gac sur l’action de l’Il-17 dans les spondylarthrites.
Les spondylarthrites sont un groupe de rhumatismes inflammatoires chroniques qui ont une caractéristique commune : le développement d’une inflammation à l’interface os-tendon/ligament ou os-capsule articulaire.
Projet réalisé pour un article de l’Institut Pasteur » Alzheimer : comment les agrégats endogènes de protéine tau échappent à la dégradation »
Fibrilles de tau exogènes : Les protéines tau exogènes agrégées pénètrent dans la cellule neuronale et s’y accumulent progressivement.
Ensemencement : Les fibrilles de tau exogènes induisent des conformations anormales sur des protéines tau normales, déclenchant une réaction d’auto-amplification en cascade.
Autophagie : Les agrégats de tau endogènes bloquent leur propre dégradation autophagique.
TNT : Les enchevêtrements neurofibrillaires se propagent aux cellules avoisinantes via les TNT et déclenchent le processus d’ensemencement dans les cellules naïves.
Projet réalisé pour un article du Pr Pierre-Marie Lledo de l’Institut Pasteur « Le microbiote intestinal participe au fonctionnement du cerveau et à la régulation des humeurs ».
Projet réalisé en collaboration avec Serge Latil pour l’Express, afin d’illustrer un article sur Alzheimer de Stéphanie Benz.
Des ultrasons pourraient éliminer les protéines accusées de causer la pathologie. Un essai clinique est en cours.
L’hypothèse est que l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique provoque une réactivation du système immunitaire du cerveau, qui recommencera à éliminer les protéines toxiques.
Cette technique agirait sur les protéines bêta-amyloïdes formant les plaques autour des neurones, mais aussi sur les protéines tau, qui s’accumulent dans les cellules nerveuses.
